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Abondante, propre, renouvelable : chez Total, nous pensons que le solaire est l’une des réponses à la demande croissante en énergie et au défi de la transition énergétique. C’est pourquoi nous travaillons à la rendre toujours plus performante et compétitive.

DÉVELOPPER LE SOLAIRE AUJOURD’HUI POURPRÉPARER L’AVENIR

Dans les décennies à venir, les énergies renouvelables s’imposeront de plus en plus comme complémentaires aux énergies fossiles. Selon nos estimations, elles représenteront avec l’hydraulique 20 % du mix énergétique mondial à l’horizon 2035, contre 13 % en 2010. À condition toutefois de s’en donner les moyens…

La filière solaire requiert en effet des investissements humains, financiers et technologiques considérables pour franchir un cap décisif. Nous avons choisi de prendre ce tournant stratégique en nous engageant à travers notre filiale SunPower, l’un des leaders mondiaux du solaire, et en investissant dans la R&D : amélioration des rendements, réduction des coûts ou encore stockage de l’électricité produite.

http://www.total.com/fr/expertise-energies/exploration-production/solaire/leader-mondial

5 MARS 2013

La société Tenesol, spécialisée dans l'assemblage, l'installation, le financement et la maintenance des projets photovoltaïque, a clôturé début février un programme de diminution des effectifs. Cette réorganisation intervient dans le contexte de la fusion par le groupe Total, en octobre 2012, de SunPower (numéro deux de l'énergie solaire aux Etats-Unis, 4000 salariés, CA : 2 milliard d'euros) et de Tenesol, basé à La Tour de Salvagny, dans le Rhône (1000 salariés, CA : 300 millions d'euros). Total, qui détient 66% de SunPower et était jusqu'en 2011 actionnaire à 50% de Tenesol au côté d'EDF, a acquis mi-2011 la totalité du capital de la société française, marquant ainsi sa volonté d'investir massivement dans la filière solaire. 
Prévu à l'origine pour impliquer 70 postes au siège de Tenesol, le plan de réduction des effectifs (départ volontaire, formation, création d'entreprise, mobilité interne) devrait finalement concerner 110 salariés, sans recours à un plan social. « Les conditions de départ se sont avérées très avantageuses. Les salariés ont pu bénéficier des plans de départs volontaires du groupe Total », indique Pascal Choffez, secrétaire du Comité d'Entreprise et délégué syndical CFE-CGC. En contrepartie, le groupe projette d'installer à Lyon son centre d'excellence EMEA/APAC (Europe Moyen-Orient Afrique/ Asie Pacifique).

Dimension franco-française dépassée

Plusieurs questions demeurent en suspens : quels moyens humains devraient accompagner ce projet ? A quelle hauteur s'élèvera l'investissement ? « S'il n'y avait pas eu Total, Tenesol n'existerait plus, observe Pascal Choffez, qui annonce être remonté jusqu'au top-management de Total et au cabinet d'Arnaud Montebourg pour s'assurer l'implantation du nouveau pôle à Lyon. Désormais la dimension franco-française est dépassée. Le photovoltaïque se joue à un niveau mondial ».

MARS 2011

Social. À la suite de la récente réunion entre le comité d’entreprise et la direction, la majorité des 400 salariés du groupe Photowatt, spécialisé dans la fabrication de panneaux photovoltaïques à Bourgoin-Jallieu (Isère) ont décidé de se mettre en grève pour une durée indéterminée.

Ils désirent ainsi manifester leur désaccord avec les conditions de licenciement proposées par la direction dans le cadre d’un plan de restructuration de l’entreprise.

Un piquet de grève s’est installé devant l’entrée de l'usine. Les partenaires ne sont pas tombés d'accord sur le montant de l'indemnité de licenciement supra-légale, les salariés demandant 50 000 euros de prime fixe et 200 euros supplémentaires par mois d'ancienneté.

La direction estime avoir fait des concessions lors de la dernière négociation puisqu'elle a proposé une enveloppe globale de 5,7 millions d'euros (au lieu des 4,5 initialement prévus) afin d'indemniser le départ d’une centaine d’employés sur les 195 suppressions de postes.

A noter qu'en parallèle à ces mesures, le plan de restructuration va aussi entraîner la suppression de 126 emplois intérimaires.